C’est le moment de passer au SSD
Que vous souhaitiez acheter un nouvel ordinateur ou simplement rajeunir votre machine, vous ne pouvez plus ignorer les nouveaux disques durs SSD. Hier encore inconnus, ils se démocratisent grâce à des tarifs en baisse qui les rendent accessibles au grand public. Par rapport à son ancêtre le HDD, cette nouvelle génération de disque dur ne possède plus de partie mécanique. Elle a été entièrement remplacée par des puces électroniques. De ce changement, découlent de nombreuses améliorations.
SSD : un temps d’accès record
Une des principales améliorations techniques du SSD est sa vitesse de lecture et d’écriture. Même les meilleurs disques d’ancienne génération ne rivalisent pas. Cela va vous offrir un gain de temps considérable au démarrage de Windows, lors du lancement d’une application, d’un logiciel, ou même lors de transferts de fichiers.
Température, bruit, robustesse
Le SSD fonctionne sur une base de mémoire flash. Il ne chauffe donc quasiment pas, est complètement silencieux et ne craint pas les chocs (dans la limite du raisonnable). Il est donc parfait pour les ordinateurs portables qui sont souvent victimes de pertes complètes des données suite à un petit choc pendant une opération de lecture ou d’écriture.
SSD : les différentes interfaces
De le même manière que les disques durs classiques HDD, la majorité disques durs SSD offrent une connexion SATA. Différentes versions de cette interface existent et chacune propose des taux de transfert différents.
- SATA III : c’est l’interface que l’on retrouve fréquemment. Elle offre un débit allant jusqu’à 600 Mo/s.
- m-SATA : ce type d’interface, Mini-SATA, qui équipe généralement les PC portables ou ultrabooks, offre un taux de transfert allant jusqu’à 500 Mo/s en lecture et 260 Mo/s en écriture, selon les modèles.
- PCIe : l’interface PCI-Express permet d’accéder aux taux de transferts les plus élevés : jusqu’à 1 Go/s en lecture et 950 Mo/s en écriture. souvent cette interface dans les matériels destinés aux professionnels.
